SÉANCE DE DÉDICACES DU LIVRE "HISTOIRE DE LA PUB À BIARRITZ" AUX GALERIES LAFAYETTE, PLACE CLEMENCEAU À BIARRITZ

17 septembre 2011

Les Galeries Lafayette 
présentent le plus grand défilé du monde
dans 53 villes de France.


 













EXPOSITION de Xabi Soubelet à La Rotonde - Saint-jean-de-Luz

du 7 avril au 6 mai 2012

Texte de Paul Azoulay










EXPOSITION de Irène Darget-Bastien à Biarritz

du 4 au 22 avril 2012




TEXTE DU PANNEAU CI-DESSUS
Irène a pris d'énormes risques en me demandant de commenter son travail et par là même de la présenter. Elle sait combien je suis généralement sévère et combien je peux égratigner, quand il le faut, les artistes, fussent-ils mes amis.
C'est par les Naïfs, qu'elle traitait avec une grande délicatesse, qu'Irène a affirmé sa réputation nationale. Elle ne renie pas ses attaches aux Naïfs d'où elle tient sa touche sensible et avec lesquels elle donnait forme à sa bouillonnante imagination. Or, Irène - et ça m'agace - forcée par son heureuse insouciance, éprouve un perpétuel besoin de changer, d'explorer, de se réinventer.
Et, prévision confirmée, elle est passée du Naïf à l'Innocence. La naïveté a alors pris le visage d'une autre vérité. Du très précieux, du très féminin, du très détaillé Naïf dont elle était le maître absolu, elle est passée aux taches projetées violemment qui seraient, à l'en croire, des réminiscences oniriques puis, pour faire vite, elle a entrepris de travailler avec des touches larges et hardies en y incluant des formes tendant à une signification propre à chacun de nous. En réintégrant ainsi du réel dans son écriture abstraite, elle poursuit par sa peinture la recherche d'une identité. Irène a multiplié les performances. Sa participation à de nombreuses expositions internationales où elle avoisinait avec les noms les plus glorieux de la peinture a fait d'elle un peintre coté. Sa production abondante, qui a intéressé de riches Américains, justifie son bonheur de peindre et de ne peindre que la joie explosive.
Mystique, quoi qu'elle s'en défende, elle s'est mise en tête de transformer le réel en spirituel. En perpétuel changement, en permanente évolution stylistique, avec une sensibilité communicative propre, elle s'attaque aujourd'hui aux compositions les plus ambitieuses. Madame Irène Darget-Bastien s'est mise à la recherche de l'illusion d'une troisième dimension. Malgré ses prouesses pour suggérer la profondeur, la perspective et le relief qu'elle appelle le Tridimensionnel 3D, elle tente de nous égarer en nous entraînant dans le piège du faux-semblant. « Non, tu ne m'as pas eu Irène, mais tu m'as troublé... »
Le temps te laisse intacte, il n'a diminué aucune de tes ardeurs. Ce que nous devons retenir de cette visite ? Un, Irène a su très tôt se dégager des influences reçues. Deux, ses connaissances et sa maîtrise technique.
Trois, la sincérité de son inspiration démontrée par la bonne santé de ses harmonies de couleurs. Quatre, Irène donne libre cours, ce n'est pas rien, à son tempérament et elle poursuit dans sa peinture la recherche d'une identité qu'elle a - qu'en pensez-vous ? - enfin trouvée.
Paul Azoulay





Quelques articles de journaux pour l'ouvrage "HISTOIRE DE LA PUB À BIARRITZ"

Article du journaliste Olivier Bonnefon
dans le Journal SUD-OUEST





Article du journaliste Manex Barace
dans l'hebdomadaire Courrier Français



Rubrique "VOS LECTURES"
dans le magazine municipal